Pour boire et oublier: la pulperia
Qu’elle serait lourde à porter, la solitude hautaine du gaucho, si elle ne comportait parfois ses exceptions. Car si l’on imagine bien un cavalier solitaire faire étape sous un bosquet pour se préparer une infusion de yerba maté, on ne peut guère envisager qu’il emporte sur son cheval des litres de vin. Ce ne serait pas pratique … Lire la suite de Pour boire et oublier: la pulperia
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