A l’époque, Carouge était encore un village sarde. C’est dire. Les antiquaires ne s’étaient pas encore mis en tête de bousculer les artisans et la bonne société genevoise ne passait toujours le pont que pour s’encanailler. Rue Saint-Joseph, on jouait à la boule-en-bois et à la carte-à-fleurs. Le soir, les tavernes s’apprêtaient à accueillir Mandrin … Lire la suite de Josef
Copiez-collez cette URL dans votre site WordPress pour l’inclure
Copiez-collez ce code sur votre site pour l’y intégrer